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Décès du journaliste Tahar Boujemâa : Une carrière riche en contributions médiatiques et éducatives

Décès du journaliste Tahar Boujemâa : Une carrière riche en contributions médiatiques et éducatives

 La scène médiatique et éducative algérienne a perdu hier le journaliste chevronné Tahar Boujemâa, une figure emblématique de la presse écrite, décédé à l’âge de 73 ans, laissant derrière lui un riche héritage professionnel et pédagogique. Né le 16 novembre 1951, le défunt était père de cinq enfants. Il a su conjuguer avec brio et dévouement ses carrières d’enseignant et de journaliste. Un parcours professionnel diversifié. Tahar Boujemâa a débuté sa carrière en tant que professeur de langue française, enseignant dans plusieurs cycles d’éducation, allant du collège à l’enseignement supérieur. Il a également occupé le poste de directeur de collège dans les communes de Bougous et El Kala, dans la wilaya d’El Tarf. Il était reconnu pour son engagement et son dévouement envers sa mission éducative. Dans le domaine du journalisme, il s’est illustré comme un journaliste de talent au sein du journal Le National Éco, où il a signé des analyses et des reportages marqués par leur précision et leur profondeur. Défenseur des causes sociétales, il a gagné le respect de ses collègues et de ses lecteurs grâce à son sérieux et à son professionnalisme. Condoléances officielles et hommage solennel. Face à cette perte immense, le ministre de la Communication, M. Mohamed Meziane, a adressé ses condoléances à la famille du défunt et à l’ensemble de la rédaction du journal, exprimant ses prières pour que Dieu accueille le défunt en Son vaste paradis . Le wali de la wilaya d’El Tarf a également présenté ses condoléances à la famille, tandis qu’un représentant de la wilaya et le secrétaire général de la wilaya ont assisté aux funérailles, marquées par une présence importante de collègues, d’amis et de proches du défunt. Des témoignages émouvants. Sa fille, profondément affectée par cette perte, a déclaré : « Mon père était une école de dévouement, que ce soit en tant que père, enseignant ou journaliste. Il nous manquera énormément, mais son héritage restera gravé dans nos cœurs à jamais. » Un de ses collègues journalistes a ajouté : « Nous avons perdu aujourd’hui une plume engagée et professionnelle qui a beaucoup apporté au journalisme national. Tahar Boujemâa était un modèle d’intégrité et de sérieux. » Avec le décès de Tahar Boujemâa, l’Algérie perd une personnalité exceptionnelle qui a marqué des générations à travers l’éducation et les médias. Son nom restera gravé dans la mémoire de ceux qui ont bénéficié de son et de sa sagesse.

Khadraoui Yahia 

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